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La Chabola, l’installation architecturale inspirée de la kinésithérapie par Jorge Penades
La Oficina, un studio créatif espagnol basé à Madrid créé par le designer Jorge Penadés, présente le projet expérimental et architectural La Chabola, une installation inspirée de la kinésithérapie dans la Biblioteca de La Rioja à l’occasion du Festival international d’architecture et de design de Logroño, Espagne.
“La Chabola est un exercice architectural basé sur un système constructif expérimental. C’est une installation dans un espace public avec 20 planches de bois standard. L’objectif était de rendre le minimum d’intervention possible sur un matériau donné. Comment pourrait-on créer une entité architecturale avec une pensée constructive amovible?
Le projet La Chabola est effectivement inspiré des kinésithérapeuthes et de la façon dont la bande kinetape est utilisée sur la musculature. Nous avons étudié comment cette technique pouvait être traduite et mise en œuvre dans un contexte architectural : à la fin, les os et les muscles font partie intégrante de l’une des structures les plus intelligentes auxquelles nous pouvons penser.
Intéressé par ce point précis où deux disciplines très différentes qui peuvent se chevaucher, ce projet propose une approche strabique de l’architecture. Le résultat est une méthode anarchique de connexion de différentes surfaces avec du ruban adhésif; Le résultat est un pavillon improvisé de bidonville qui génère un vocabulaire visuellement fragile mais rigide en terme de construction. Cette stratégie d’installation temporaire est davantage traduite en mobilier, en intérieurs, en maisons d’exposition ou encore en propositions architecturales plus importantes.
L’installation avait également une partie auditive. Nous avons collaboré avec une agence qui a créé une pièce acoustique basée sur le son que fait la bande lorsque vous la déroulez. La piste fourni une atmosphère intrigante mais contemplative à l’installation, permettant aux visiteurs d’expérimenter un niveau de compréhension plus profond.
Informations techniques
Projet : La Chabola
Designer : Jorge Penadés
Année : 2018
Client : Concéntrico
Fabricant : Oficina Penadés
Dimensions : 4,97 x 4,43 x 3,75m
Matériaux : Panneaux de contreplaqué standard et ruban gaffer
Pièce sonore : Cera identidad sonora
Crédits photos : Josema Cutillas
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La chabola c est une cabane mais ici je dirais que c’est une guérite qui ethylogiquement vient de guarir, autrement dit guérir ,proteger…Ce qui fait un lien , un fil rouge avec Gerrit Rietveld et avec le K tape.Le fil rouge est une thématique qui indique une cohérence. On peut enfermer son oeuvre, son travail avec une demi douzaine de mots clefs qui en font la singularite depuis son projet de diplome et son parcours international de post diplôme .Il a réussi son individuation dans le milieu de l’art design dominé par les hollandais. Je ne crois pas une seconde à la possibilité de bâtiment d’urgence à partir de ce design expérimental,? conceptuel, ? discursif.? .ce qui impliquerait du contreplaqué marine , des contreventements et autre chose que des k tape qui ne tiennent que 5 jours. mais à la réalisation de meubles… D’ailleurs des meubles existent déjà avec une bande qui sert de lien…mais aussi de motif décoratif.
Les designers et architectes obsédés du joint, en français de l’assemblage doivent se procurer illico presto le catalogue u joints de l’expo de la design week-end de Milan 2018 Cette exposition à été remarquée par Paola Antonelli du Moma… Combien de blogs, de conservateurs français en on parlé sur la toile? Les faux semblants qui font penser à une maquette de Rietveld de 1928 avec du tape de Style. / de Stijl…ne sont ni du design. ni de l’art, ni de l’archi…mais un projet de plus pour un prof de design legitimed par des museums dans ce Barnum qu’est l’art design à fort strabisme art CONtemporain
Tape à l’oeil avec du tape art vraiment très basique mais avec un faux semblants de maquette de Rietvelt de 1928…donc 100 ans plus tard. Comme je retourne le paratexte contre son rédacteur qui ose parler de bidonville , je dirais que la légitimation du design centrée sur les musée est une vision strabique du design et une architecture bidon. . Ce qui est plus inquiétant, c’est que ces designers diplômés avec strabisme sont presque toujours profs dans leur école…