La revue d'architecture et de design
Lustre AT27 en plastique fondu par Jimmy De Angelis
Jimmy De Angelis, jeune designer belges nous présente sa création AT27, un lustre massif surmonté d’une plaque de plastique fondue.
Toute l’originalité du luminaire réside dans sa conception particulière, qui, grâce à la chauffe de cette plaque des bulles vont apparaitre et se jouant de la lumière.
Côté conception : “C’est en voyant l’œuvre d’art d’ Elissa Batchley que j’ai eu l’idée de faire ce luminaire. L’œuvre en question était un filet noir qui contenait une espèce de masse, translucide caoutchouteuse, le tout suspendu à un plafond ! AT27 est composé d’un treillis soudé (fer à béton) suspendu par 4 câbles en acier. Au dessus de celui ci, une plaque de PMMA chauffée et déposée sur la grille (laissant la gravité faire le travail). La grille et la plaque sont surmontés d’un support en acier perforé, soutenant un tube led. L’alimentation électrique est fait via un cordon électrique en nylon noir. L’ensemble des parties métalliques (hormis les câbles) sont peintes en noir mate, le treillis et le support led sont tout les deux réglable en hauteur.”
On aime particulièrement cet aspect aléatoire du plastique chauffé, art et accident chaque pièce sera unique par son aspect et conception.
Le jeune designer nous en dit un peu plus sur lui : “Je suis un jeune designer de Liège (spécialisé dans le biomimétisme). Depuis la fin de mes études à l’école supérieure des arts de Saint-Luc, j’ai travaillé une année à Rome pour ensuite revenir en Belgique ou j’ai travaillé comme dessinateur pendant quelques mois pour finalement me lancer comme freelance. Mon style est léger, composé principalement de ligne courbe (ce qui n’est pas le cas pour AT27) et j’affectionne les jeux de réflexion ou de transparence.”
Nous souhaitons une elle réussite à ce nouveau talent, en espérant très rapidement le revoir sur BED pour de nouvelles créations originales !
Plus d’informations sur le designer : Jimmy De Angelis
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Je veux dire quel’informe, l’imparfait, la coulure, la gravité sont plus explorer à Eindhoven qu’à Paris du moins en design… La question que j’me pose c’est la declinaison possible
Je pense à pieke Bergmans….mais il y’a des variations dans la grille de lecture
C’est un design qui s’oriente plus vers Eindhoven et Londres que vers Paris . En temps que disciple de Patrick Jouin et donc de STAR ck je le vois plus en bâtons de plexi extrudes ou i coulés à bulles , Ce qui permet De le présenter à Flos ou à artemide
nous nous inspirons tous de quelque chose celui qui dit le contraire ment 🙂 en ce qui concerne le poly(méthacrylate de méthyle) (souvent abrégé en PMMA, de l’anglais poly(methyl methacrylate)est un polymère thermoplastique transparent obtenu par polyaddition dont le monomère est le méthacrylate de méthyle (MMA) …
C’est de l’humour mais j’apprécie qu’un designer avoue son inspiration sans être soumis à la question d’un journaliste ou d’un curieux et y réponde par un mensonge car rien ne naît de rien ni les choses, ni les êtres. “C’est en voyant l’œuvre d’art d’ Elissa Batchley … Je ne connais pas cet artiste verrier….
Ppma fondu redevient du mma….bonjour l’assurance