Céramiques disséquées par Beccy Ridsdel

03 décembre 2010 /
23 commentaires

Céramiques disséquées par Beccy Ridsdel

Beccy Ridsdel, designer créateur en provenance d’Angleterre nous propose une expérience étonnante, une rencontre entre chirurgie et céramique, un concept : Le chirurgien dissèque l’objet artisanal pour voir ce qu’il y a à l’intérieur !

Comme quoi les apparences sont parfois trompeuses…

Céramiques disséquées par Beccy Ridsdel

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Site de la créatrice : Beccy Ridsdel

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By Blog Esprit Design


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Vincent - Blog Esprit Design

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  1. Excuse moi, j’ai fais une erreur de manipulation et je n’avais pas compris ce que tu voulais dire mais j’ai trouvé google image avec tes commentaires merci

  2. @Olivier.C
    Ce doit être pour cela que je suis interdit depuis le 23 novembre sur 6 blogs de design qui se sont entendus non pour modérer mes commentaires mais pour vraiment m’interdire sur leurs blogs.

  3. prof: j’aime beaucoup ta définition du design actuel,pour moi de loin ce que tu as écrit de plus concret et efficace. si tu le permets je le transfère à mes étudiants pour une discutions débridées au prochain cours.
    Ce qui m’interpelle dans le vaste monde du design (d’objet et de mobilier)c’est l’opposition que l’on fait entre design industriel et design d’art, le premier a de plus en plus tendance a créer des besoins plus qu’a y répondre et le second a générer des biens de luxe, les intentions deviennent de plus en plus floues??

  4. copies à jean sebastien, à Bob le Homard, à waldezign, à Jesse, à Philippe Duroule, à Mirokatsu, à Janus Milo ,à yves hilgenberg

  5. Il faut passer non à la culture visuelle mais à la Culture et même aux cultures. C’est-à-dire passer de l’attention superficielle à l’attention profonde. Or la société de tous les écrans conduit à l’américanisme , à une culture de la superficialité et du paraître. Selon Peter Sloterdijk, « La culture c’est la patience ». Or le temps de lecture d’une image est de plus en plus brève.
    Selon Gregory SANT, Designer ( blog Alltrends) « Je ne suis pas arrivé au métier de designer par hasard. Lorsque j’ai commencé mes études, les écoles de design industriel étaient encore peu nombreuses en France. Je suis donc parti en Belgique (St Luc à Liège), faire 2 années d’esthétique industrielle, une formation très complète en technologie, ergonomie, histoire de l’art et bien-sur en design.Il y avait même un cours unique au monde je pense : philosophie du design : de quoi s’ouvrir vraiment l’esprit. »

    Stéphane Vial , psychologue et philosophe enseigne la philosophie appliquée au design à l’École Boulle à Paris vient d’écrire un livre intitulé ‘Court traité du design » Son éditeur, PUF sous la plume de Laurent de Sutter Laurent fait une presentation de l »ouvrage. Il dirige la collection « Travaux pratiques » aux Presses universitaires de France mais n’a rien compris au design. « Le design est l’art d’enchanter l’existence quotidienne par les formes. Mais cet enchantement n’a rien de magique, ni même d’artistique : il est l’effet concret d’un certain nombre d’opérations techniques spécifiques au projet poursuivi par chaque designer. Car le designer est un projeteur. Et parce qu’il est un projeteur, l’effet qu’il cherche à produire ne se limite pas à concevoir des objets. Il implique aussi une vision complète du monde, incluant jusqu’au rêve de son futur. De ce rêve, chaque création d’un designer est la réalisation anticipée. Il ne reste plus au monde qu’à suivre. Ou pas ? »
    La préface du designer Patrick Jouin, « Le design, c’est quoi ? Cette activité reste difficile à définir comme si on ne voyait que son reflet troublé par les jeux de ses acteurs ou par les antagonismes de ses buts. Doit-on s’en tenir à la simple forme-fonction, si pratique mais pas si évidente à atteindre ? Ou réinventer ce qui existe déjà ? Faire de beaux objets bien stylés ? Donner envie d’acheter des produits écologiquement responsables ? Faut-il croire encore un peu au progrès ? L’auteur nous dit que le designer serait comme un schizophrène. Il a raison. C’est aussi un équilibriste tentant d’impossibles figures où doivent s’unir des contraintes, d’un côté le marché, de l’autre l’être humain, le plastique et la nature, la fabrique et la légèreté, les pauvres et les riches. C’est infini. Voila où réside l’intérêt de ce métier, qui tente concrètement d’apporter des solutions au réel dans ce flux d’ambiguïtés. Quel designer suis-je ? Quel designer voulez-vous être ? . »
    http://www.reduplikation.net/fr/posts/design-comme-chose-qui-pense

    Dans le domaine de l’art Raphaël Enthoven dialogue dans les chemins de la connaissances avec Patrice Maniglier, ancien élève de l’Ecole normale supérieure, agrégé et docteur en philosophie, , enseigne l’Université d’Essex, au Royaume-Uni. « A quoi pense l’art contemporain?  » Revue Critique Critique n° 759-760 Edition de Minuit
    http://www.touslespodcasts.com/annuaire/radio-tv/radio-nationales/1239-episode581027.html

  6. Dans l’enseignement on peut constater ce phénomène, sous la bonne intention de donner accès a une culture visuelle le plus large possible, on fini (moi y compris)par gaver nos apprenants de références qui finis par nuire gravement à la créativité et à la liberté de créer, cette satané impression de déjà vu.

  7. Post
    Author

    Ca va très bien .. sous la neige du coté de Lyon ..

    Une rencontre chirurgie et céramique très intéressantes… Notion de faux-semblants, de visages cachés 💡

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