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Projet étudiant : FripUP – dai tempo al tempo, les calendriers de Massimiliano Bettinelli
Massimiliano Bettinelli, jeune étudiant basé à Romanengo en Italie, présente son projet de licence FridUP, soutenu par la NABA de Milan et présenté au Fuorisalone 2018 présentant trois types de calendriers : journalier, lunaire et saisonnier.
Description du projet par Massimiliano Bettinelli :
“Si le temps passe trop vite et semble-t-il que ce ne soit jamais assez … Peut-être que vous ne vivez pas de la bonne façon”.
C’est de cette hypothèse qu’est née le projet FripUP – dai tempo al tempo. C’est une collection de trois calendriers, quotidien, lunaire et saisonnier, conçus pour toute l’année, pour la maison, pour nous et pour notre temps. Partant de l’analyse effectuée sur la population de banlieusards de Milan ainsi que sur les étudiants et leurs les comportements associés, il est immédiatement devenu évident que la plupart des gens sont dominés par le temps qui passe. En fait, une fois qu’il est perdu, nous ne pouvons pas revenir en arrière et cela provoque de nombreux problèmes tels que la hâte constante, l’anxiété ou l’insatisfaction.
Le projet FripUP – dai tempo al tempo vise donc un avenir meilleur et peut-être plus durable. C’est une mission ambitieuse car le but ne peut être atteint que si nous croyons d’abord, sans nous laisser dominer par les événements, mais en prenant notre vie en mains. C’est à nous de savoir profiter du temps qui nous reste de la meilleure des façons… Pour profiter de chaque moment, avec la bonne tranquillité et la positivité, il faut donner du temps au temps.
Derrière FripUP se cache une recherche, un raisonnement, un projet et une vision. Pour le faire avancer, un outil simple a été choisi : le calendrier. C’est un objet simple que tout le monde possède à la maison et qui est souvent sous-estimé, mais qui peut en fait ouvrir des scénarios de conception très intéressants. L’ensemble du projet se développe également entièrement dans une perspective éco-durable : du packaging, aux tables de papier sur lesquelles les jours sont imprimés.
Tout d’abord, les tables sont imprimées avec de l’encre alimentaire, puis découpées au laser. Cela nous permet, (une fois par semaine ou un mois) de déchirer cette partie du calendrier dont nous n’avons plus besoin. Enfin, après l’avoir coupé en morceaux et étalé le papier dans un vase, il est possible de faire pousser une plante. Dans environ 7 à 10 jours, le papier se bio-dégradera et libèrera les nutriments dans la terre. Donc, même s’il ne reste qu’un simple morceau de papier, nous n’avons pas tout perdu ; Nous pouvons l’utiliser pour faire quelque chose d’utile, tout comme nous pouvons essayer de profiter pleinement du temps restant.
Massimiliano a 22 ans et a toujours vécu à Romanengo, une petite ville de campagne en Italie. Il a étudié au lycée scientifique et désormais vient de débuter sa carrière en tant que designer. Désormais, Massimiliano a pu faire face à des projets de plus en plus intéressants et se confronter à des entreprises nationales et internationales.
Plus d’informations sur le designer Massimiliano Bettinelli
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C’est un design conceptuel et narratif à partir de l’idee toute bête de donner à manger le temps passé à une plante comme à un animal… Si le temps passé est révolu, je ne peux le lire qu’en période de révolution planétaire, d’economie circulaire. Tout cela conduit au cercle filaire et à la boule .Cela peut faire parti d’une exposition sur le temps, je vois mal cela en temps que produit à vendre….sauf à séparer le calendrier … du pot à arroser. …dans une bibliotheque …sic
Je dirais que formellement c’est 3 variations sur le portaoggeti filaire fierzo à base bois de Julie Richoz. À la fois portaoggeti et portacarta, porte objet et porte papier., porte carteIl a une recherche d’equilibre , d’harmonie… mais il ne peut utiliser le concept de Julie Richoz pour bloquer les feuilles et le rouleau…entre deux cadres filaires soudés près de la base en bois pour tenir le papier par élasticité….. Comme pour Tomas Kral, ce n’est pas que du formel.et de l’elasticite de matériau, Le design c’est de l’elasticite mentale (élastic mind selon Paola Antonelli du Moma) qui part du connu pour faire du nouveau immédiatement reconnaissable selon Armand Hachtuel… Mais au final c’est un concept Eindhovenien sur une forme Ecalienne d’une désigner française émergente connu éditée par un éditeur italien célèbre… Avec cela allez chercher les valeurs du design national
C’est le type de chose hybride qui plaît à Hyères ( sans jeu de mot) à la design parade…mais il faut comme en art intellectualiser le para texte.. pour ne pas avoir l’air d’un oiseau tombé du nid.
Bettinelli, c’est un nom dans l’histoire du design…mais il faut se faire un prénom….pas trop long et facile à écrire. La vidéo est edifiente C’est un curieux dessin dessein …et comme il n’y a pas grand chose en portfolio, je me dis pourquoi cette sélection parmi les 100 000 présentés à Milan… Le rythme ?