La revue d'architecture et de design
Nymphéa le lustre inversé par Vaulot et Dyèvre
Découvert hier, le studio Vaulot et Dyère composé de Goliath Dyèvre et Quentin Vaulot, jeunes designers français, je ne pouvais passer à côté Nymphéa, une création originale de lustre littéralement inversé.
Suspendu au plafond par de longs câbles d’alimentation, on se retrouve au-dessus des disques lumineux… Le jeu peut alors commercer, chaque source lumineuse flottante peut être mise à la verticale, face à un mur par exemple et se jouer des ombres projetées.
Félicitations à ces jeunes designers, une création qui sort réellement de l’ordinaire !
Plus d’informations sur le studio : Vaulot&Dyèvre
Gallerie (0)
À propos de l'auteur
Vincent Roméo
Fondateur, rédacteur en chef chez
Blog Esprit Design
Gardien de la maison BED, fondateur, dévoué je passe mon temps à veiller la nouveauté qui vous fera briller les yeux.
En parallèle : Head of digital & Associé 14 septembre - Groupe Extreme
Laisser un commentaire
Dans le même rayon
C’est de la chaise BB, nouvelle signature Studio Briand & Berthereau pour Kann Design
Washi No Akari : aux frontières sensibles de la lumière avec Maxime Prangé
Collection Corte : Quand design modulaire et héritage artisanal réinventent l’habitat d’urgence
Collision : quand Guillaume Delvigne imagine des rencontres de matières
Condensless : l’innovation textile qui redéfinit l’architecture nomade par Decathlon
TWINY : Le mobilier 3 en 1 qui repense les espaces dédiés à l’enfance
HomeFarm : une jardinière verticale modulable pensée pour la vie urbaine
Repenser la mobilité pour toutes et tous : le projet Zeal Lifestyle
Stapelstein DYNAMIC : modularité, mouvement et créativité au service du design ludique
L’art dans vivre : un tremplin coopératif pour artistes en quête d’élan professionnel
À découvrir aussi
La lampe minimaliste du studio COG
Shelter, l’abri de plage éducatif de Clémentine Chambon
Compo’plume : matériau à base de volants de badminton usagés
Un chariot fonctionnel pour toutes vos réceptions
Luminate présente Lily, le casque conçu pour apaiser un des effets les plus éprouvants de la chimiothérapie
Graphème Paris : parfum d’intérieur fabriqué à Limoges
Entretien avec Pascaline Rey autour de sa création pour Les Uniques par La Redoute Intérieurs
Des panneaux acoustiques pour habiller votre intérieur
Maximum : l’art de transformer les déchets industriels en mobilier design
DOMOTEX 2024 : Innovation et durabilité
Nom sans raison…
Avec 3800 occurences Vaulot Dyèvre, un nom pas facile à orthographier, Vaulot Dyèvre ont encore un gros travail à faire pour se faire connaître et ce qui est plus difficile reconnaître…
Vous ne serez pas surpris que la Galerie Gosserez qui finance? produit ? édite? distribue? une serie limitée 15 exemplaires + 2 Prototypes disques de 30 cm – 42 cm et 60 cm en métal laqué, va mettre( à mon avis) des lustres à les vendre sauf si Vaulot et D l’integre à un projet de design d’espace, de scéno, de vitrine….
Author
Même effet, mais pour plafond..
http://deco-design.biz/luminaires-muraux-design-puck-jordi-vilardell-vibia/10961/
UN PETIT RAPPEL BASE COMMUNICATION MARKETING
Définition Notoriété assistée
Le taux de notoriété assistée est le pourcentage de personnes qui disent connaître une marque présentée dans une liste ou citée par l’enquêteur.
La question posée est de la forme : « Parmi ces marques, quelles sont les marques que vous connaissez ? » ou plus rarement « Connaissez vous cette marque ? ».
– Le taux de notoriété spontanée est le pourcentage de personnes qui citent spontanément la marque. La question posée est alors une question ouverte. Ex. : « Citez-moi toutes les marques de lessive que vous connaissez. »
– Le taux de notoriété top of mind : marque immédiatement présente à l’esprit. On peut traduire top of mind par « notoriété spontanée de premier rang ». Quand on pose une question pour connaître la notoriété spontanée, on relève l’ordre de citation des marques. La notoriété spontanée de premier rang est le pourcentage de personnes qui citent spontanément la marque en premier.
Constance Guisset ou comment une scénographie de design week ou designers days ( c’est la même chose) à Paris conduit à des produits édités à Milan… et un élément de son vocabulaire et de sa communication… Condition: une notoriété assistée.
[img]http://www.e-storming.com/e-news/bde96d43bc20b7f522eef1a1a7351268/COUVAS51.jpg[/img]
Voila donc les 3 projets lumineux , le proto de ce dernier est financé par le Via dans le cadre de l’appel permanent.
[img]http://redox.nobelium.free.fr/vaulotdyevre/images/vaulotdyevre_VIA_spanlight_pict_s1.jpg[/img]
Il faut toujours inventer un chemin pour sortir un designer de l’ombre. Cela s’appelle la stratégie de notoriété. Elle est fortement liée à la stratégie éditoriale et à la stratégie de communication propre au designer et à ses éditeurs….. et au culte de l’image des rédactrices/ journalistes au physique du designer et ou à leur fibre + ou – féministe…
L’attribution c’est de mettre un nom sur un projet ou un produit. La definition d’un territoire de designer aide la recherche de nom. Le problème d’un collectif, c’est de mettre un visage sur un nom et d’écrire un nom long et complexe pour le trouver
Sur le net, Quentin Vaulot est bien plus visible que Goliath Dyevre
[img]http://flodeau.com/wp-content/uploads/2011/09/QuentinVaulot_SIU5s.jpeg[/img]
Une stratégie proche de celle de Constance Guisset qui a sorti sa ménagerie
poético médiatique de designer scénographe dans le dos des territoires de designers multi-players de Matali Crasset et de pure player meuble luminaire d’Inga Sempé. Le problème, c’est le naming branding/ nom et marque vaulot-et-dyevre. Pour le territoire de femme designer, c’est beaucoup moins encombré que pour les hommes…
[img]http://www.filedanstachambre.com/blog/wp-content/uploads/2010/01/constance-guisset1.jpg[/img]
Les pièces sont limitées à 15 pièces par modèle + deux prototypes (sept couleurs différentes du modèle sont disponibles)…..
Apres un projet de diplôme lumineux (voir dans les commentaires du precedent sujet), une aide au projet du Via et un projet « édité » et vendu par la Galerie Gosserez, Paris Vaulot-et-dyevre vont peut être entrer dans la lumière…
Je vois plus un dispositif presentation retail comme on dit vitrine ou boutique qu’un réel produit ( product design)… Il prenne d’ailleurs le chemin de traverse du design parisien : scénographie + galeries parisiennes + micro éditeurs…