La revue d'architecture et de design
Portrait : Daniel Lavonius Jarefeldt designer suédois
Partons ensemble à la découverte du designer suédois Daniel Lavonius Jarefeldt par l’œil et la plume de Tiphaine V.
Daniel Lavonius Jarefeldt est un designer suédois qui vit et travaille à Stockholm, Suède.
Daniel Lavonius Jarefeldt à grandit avec ces parents, tous les deux architectes, et ses quatre demi frères et sœurs dans la banlieue de Saltsjöbaden, au sud-est de Stockholm. Sa mère, également suédoise, grandi à Helsinki (Finlande) avant de partir pour Stockholm afin d’étudier l’architecture à l’âge de vingt ans. Son père quant à lui est originaire de Tyresö, au sud de la capitale suédoise. Enfant, Daniel développe un esprit très imaginatif en jouant aux petites voitures et en s’inventant des balades dans des villes imaginaires. Il construit des avions avec des chaises et des aspirateurs et il imagine être le pilote d’un avion à réaction. Avec son père, ils construisent un grand nombre de maquettes d’avions en balsa (type de bois pour modélisme) et réalisent des modèles réduits de vielles voitures de l’armée. Daniel se souvient que son père aimait autant que lui jouer à ces jeux.
Le “souvenir” le plus marquant de son enfance reste certainement les temps où assis sur les genoux de son père alors qu’il travaillait, Daniel lisait ses magazines de voitures de collection, dessinait ou écoutait des cassettes.
La passion première de Daniel dans la vie, c’est la musique. Il joue de la batterie depuis l’âge de 5 ans et sa sensibilité de mélomane semble étroitement liée à son parcours artistique et créatif. Pendant sa jeunesse, Daniel joue dans plusieurs groupes, plus ou moins régulièrement et continu encore aujourd’hui.
Par convention, Daniel a d’abord opté pour des études en sciences naturelles tout en sachant qu’il souhaitait plutôt s’orientait sur une carrière de créatif. Les métiers de réalisateur ou en rapport avec la musique le faisait rêver. A la suite de ses études, il fait son service militaire et travaille un an dans une compagnie d’assurance Suédoise. Il décide alors de reprendre des études dans le secteur créatif. Il pense dans un premier temps à l’architecture mais il veut faire quelque chose de différent que ces parents. En 2005, il part donc pour l’Australie et entame des études de designer industriel à Sydney. Après son diplôme, il rentre en Suède pour étudier l’ingénierie MSc, diplôme d’ingénieur spécialisé dans le design industriel, à la Lunds Tekniska Högskola pour parfaire sa formation sur les techniques de construction et la mécanique.
Il finit ses études en janvier 2010 et obtient son diplôme grâce à son projet avec l’agence d’architecture suédoise Sandellsandberg. Il réalise alors, via ce projet, que travailler dans une agence d’architecture comme designer est une bonne opportunité pour travailler sur des projets d’envergure. On comprend mieux les besoins utilisateurs et cela permet de mieux identifier les produits manquants sur le marché. Suite à cette expérience, en mars 2010, il est embauché comme designer produit et architecte d’intérieur chez Tengbom à Stockholm où il travaillera durant 4 ans.
Pour Daniel, le travail de design est issu d’un processus très structuré. Un bon produit est construit selon une méthodologie de conception complexe, qu’il adapte en fonction de la taille du projet et des besoins client. Généralement, il passe par différentes phases. En premier, une phase de recherche et d’analyse, ensuite une phase de synthèse et de croquis et enfin une phase de réalisation. Durant ces trois phases, il s’applique à garder une relation étroite avec le client final afin de répondre au mieux à ces attentes. Daniel dessine beaucoup à la main dans un premier temps, passe ensuite sous Photoshop et fini par des modélisations et des rendu en 3D.Daniel est convaincu que les idées viennent par la main de l’homme et non de l’ordinateur.
Le plus important est que le produit conçu doit répondre clairement à sa fonction, ai une identité propre et soit conçu en réponse aux problématiques de l’utilisateur. Tout cela en prenant en compte l’évolution de la technologie dans notre environnement quotidien. Il pense également qu’il est primordial de créer des produits avec une certaine intimité, chaleureux et une touche d’humour. Aujourd’hui, c’est aussi essentiel de se poser les questions de conception dans les matériaux et la fabrication afin de répondre au mieux aux problématiques environnementales.
Concernant ses influences, Daniel n’a pas vraiment de référent, même s’il apprécie beaucoup le travail d’Achille Castiglioni. Il est plus inspiré par les détails, les proportions d’objets, le graphisme, etc…
Pour Daniel, le design suédois est généralement très harmonieux, mettant l’accent sur les matériaux communément utilisés en Suède. Souvent simple mais élégant, aux proportions idéales et à la fonction claire. Il semble facile pour l’œil à accepter et c’est peut-être pour cela qu’il est si apprécié.
Le design suédois semble avoir un bel avenir grâce notamment au talent des nombreux designers du pays et également à l’audace des éditeurs qui sont prêts à porter des projets innovants et décalés. Par ailleurs, les nouvelles techniques de fabrication comme les imprimantes 3D semble donner le ton et de nouvelles directions très prometteuses pour les années à venir.
Les designers commencent également à prendre en compte dans leur méthodologie de travail, l’avis des partenaires dans la gestion de la conception et de la fabrication. Cela permet d’enrichir les projets et les inscrire dans durée. Daniel note que ce phénomène, constaté en Suède, est vrai pour l’ensemble de la communauté design au niveau mondial.
Daniel Lavonius Jarefeldt a beaucoup travaillé sur le bureau et ses produits connexes. La raison à cela est certainement sont expérience en cabinets d’architectures qui travaillent beaucoup sur des projets de bureaux pour les entreprises. Les porteurs de projets savent très bien l’intérêt à travailler avec des cabinets d’architectes qui sont particulièrement compétents dans ce domaine.
Au-delà de cela, les nouvelles habitudes de travail réduisent les frontières entre les environnements de bureau et ceux de l’habitat. La nécessité d’un bureau privé est moins évidente aujourd’hui et les gens travaillent un peu partout. Les bureaux sont par conséquent moins impersonnels et plus intimes, plus proche de l’univers de l’habitat.
Cette tendance permet de développer le bureau pour l’amener à devenir autre chose. Le tabouret de la série A par exemple, est utilisé dans le restaurant “la Boqueria” dans le centre de Stockholm. C’est un développement très intéressant et positif qui permet d’envisager la conception de produit de bureau dans un sens moins traditionnel.
Actuellement, Daniel travaille sur de nouveaux projets pour plusieurs éditeurs de mobilier de bureau suédois. Tous ces projets sont réfléchis sur les nouvelles contraintes et usages liés à l’évolution de l’espace bureau. Il travaille également à l’extension d’une série de produits et de mobilier urbain pour Tengbom.
Ses prix et récompenses :
- Prix européen du consommateur pour la Série A chez SA Möbler – 2012 (voir prix)
- Nomination du « Focus Divider » chez Offecct pour le palmarès des produits Architecture et Design – 2014 (voir prix)
Plus d’informations sur le designer : Daniel Lavonius Jarefeldt
English version :
“Daniel Lavonius Jarefeldt is a swedish designer who works and lives in Stockholm.
Daniel Lavonius Jarefeldt grew up in a small community just outside Stockholm called Saltsjöbaden with his parents, both architects, and his four half siblings. His mother, who is Swedish too, grew up in Helsinki but moved to Stockholm to study architecture when she was about 20. His father grew up in Tyresö, outside Stockholm. As a child, he had quite an imaginative mind and he used to play a lot with toy cars and built imaginary city’s where he drove around with the cars. He remembers he also built an airplane with chairs and a vacuum cleaner and he imagined being a pilot with the vacuum cleaner as the jet engine. His father and him also built a lot of model planes of balsa wood and model cars of old classic veteran cars. Daniel keeps the memory of his father enjoyed this just as much as him.
For Daniel, the strongest “souvenir” from his childhood might be sitting underneath his father’s work desk, while he was working, reading his Classic Car magazines, drawing or listening to cassette tapes.
The main interest of Daniel in life is music; he plays the drums since the age of five or six. This is certainly at this time his interest for creativity started. During his youth he has been playing in bands more or less constantly and he stills play with friends today.
First, Daniel studied natural sciences in high school because he wanted a broad education but he always felt that he wanted to do something creative but back then he had a dream of becoming a movie director, or maybe work with music. After that, he did the Swedish military service and he worked a year on a Swedish insurance company. In the wake of that, he decided at last to study something creative. He thought about architecture, but felt he wanted to do something different from his parents. Then, he decided in 2005 to go to Australia, in Sydney, to study Industrial Design. He returned to Sweden after that and started to study MSc in engineering with Industrial Design, an engineering education with focus on industrial design, at Lunds Tekniska Högskola to know more about construction and solid mechanics.
He finished his studies in January 2010, and during autumn 2009 he did his graduation project at the Swedish architectural firm Sandellsandberg. At that moment he realized that an architectural firm is a great place to work as product designer, with all the ongoing projects (interior, architecture etc.) you understand what needs there are and what products that are missing on the market. So in March 2010, he started to work as product designer and interior architect at Tengbom in Stockholm where he continues to work since four years.
Design for Daniel is actually quite a structured process. He believes that a good product is based on a thorough design methodology. Depending on the size of the project and what the client is asking for he adapts his way of work. But usually he goes through different phases. First, a research phase, then a synthesis phase (sketch phase) and then a realization phase. During these phases, he makes sure he has a good communication with the client. He made ??many sketches by hand in the beginning, first like doodles in his sketch book, then presentation sketches in Photoshop and finally he does 3d-modelling and rendering. For him, it’s important to sketch a lot by hand because he wants the idea to come from the human hand and not from the computer.
The most important thing for Daniel is that the products he design have a clear function, an own identity and to be based on a humanistic approach, with all the technology surrounding us in our everyday life. He thinks it’s important to make products that are kind, warm and with a humoristic touch. Today, it’s also a matter of course to make the product environmental friendly.
Regarding influences, Daniel don’t really have a person as a design hero, although he really appreciates the works of Achille Castiglioni. He is more inspired by details and proportions in objects, graphic design etc.
For Daniel, Swedish design is usually very harmonious and with an emphasis on materials that are common in Sweden. It’s often simple but elegant, good proportions and a clear function. It’s easy for the eye to accept, and maybe that’s why it’s so appreciated.
Daniel thinks Swedish design has a good future; there are a lot of talented designers in this country and a lot of producers that are willing to try something new and different. With regards to new manufacturing techniques like 3d-printers etc., he thinks there will be quite an exciting development during the next couple of years. Designers are also starting to take a roll as strategists and design management partners, which he thinks will lead to more exiting products in the long run. And not only in Sweden but also in the whole design world.
Daniel has worked extensively on office related products. The biggest reason is because he is being a product designer at an architectural firm. They have many projects concerning offices in the firm. The producers know that they have a lot of knowledge in these areas and as a result, they want theirs to do products for those environments. However, he believes that the borders between office and home environments are becoming smaller as result of our work culture. The need for a private desk is less evident today and people are working everywhere, the offices are becoming more home-like. This enables office products to become something else. The A-series stool for example is being used in the “Boqueria” restaurant in central Stockholm. That’s a really interesting and positive development – to make office products less office-like in a traditional sense.
At the moment, Daniel has some new projects going on for different Swedish office furniture producers. All of the projects are in one way or the other concerning products for the activity based office solutions. He is also working on widening of product design projects on Tengbom to urban landscape objects, industrial design objects etc.“
Merci à Tiphaine V pour ce premier portrait sur BED en espérant très vite pouvoir vous présenter ses prochaines découvertes !
FRENCH DESIGN FROM LYON… On peut facilement imaginer ce que Paul Venaille pourrait faire en travaillant subtilement ce concept dans l’esprit français pour une vie au bureau qui serait une vie de chateau ( de carte en couleur avec un coeur, un as et un valet)… Aujourdhui dit un DA le design italien est devenu du design scandinave à la sauce tomate… Je choisis Paul Venaile car il a travaillé sur le bureau mince, le slim desk Un designer suedois disait un expert suedois,c’était un type habillait en noir qui d’un air triste vous presentais un meuble en bois d’ebeniste…. J’ajoute qu’il ne connait pas encore les neurones miroirs ( voir prof Web) mais il progresse vers une Italianité tempéré à la française qui est souventun italien de mauvaise humeurhttp://www.blog-espritdesign.com/wp-content/uploads/2012/10/bureau-PaulVenaille-anim.gif
DESIGN= DES CHOSES + DES ETRES = UN DESSIN POUR UN DESSEIN QUI A SA LETTRE ( A) ET SON ESPRIT DESIGN…. A serie. Ici les gens donnent l’échelle , indique un usage et l’esprit de la chose… Le designer des temps contemporains ( je n’ai pas écrit à dessein des Temps modernes CHAPLINesque du TAYLORisme et duFORDisme) ne doit pas être un sale matérialiste de la société de CON(sommation) du XX ème siècle, un clown mediatique “commissionné” par les grandes marques de la société de l’attention superficielle qui nous vend 2000 euros des idées à 2 balles mais un matériologue formalisateur et contextualisateur. Le trio dedesigners Daniel Lavonius Jarefeldt +Johanna Munck af Rosenschöld + Josef Zetterman au sein de Tengbom arkitekter pour qui ils travaillent. ont trouvé le ton juste non seulement pour SA Möbler mais pour leurs clients La Une gammeClient SA MöblerAnnée de la Commission 2010-2011Ville de StockholmÀ la fin de 2010, Tengbom a été contacté par le fabricant de meubles, SA Möbler, avec une demande que les deux entreprises travaillent ensemble pour développer une gamme de mobilier de bureau.L’objectif est un partenariat à long terme, et les deux premiers prototypes “A” de la gamme ont été en conséquence affiché au meuble de Milan du commerce équitable 2011. Le nom de la gamme vient des A-ligne tréteaux forme sur laquelle le repos de table-dessus.Les lieux de travail et de réunion sont conçus pour ce qui est connu sous le nom de hot-desk – postes de travail temporaires pour les réunions assises et des postes de haut de sièges. Le «A» combine les traditions de meubles suédois avec la conception de produits innovants, et crée une nouvelle atmosphère autour de l’œuvre – et un lieu de rencontre. Un certain nombre d’autres éléments de mobilier sont en cours de développement. Technologie et savoir-faire en combinaison avec des matériaux chaleureux et tactiles, tels que le bois, le cuir et textiles, de créer une nouvelle esthétique dans le domaine de la conception de mobilier de bureau.L’accent mis sur les préoccupations environnementales était l’une des conditions de base pour les deux Tengbom et SA Möbler. Les produits sont de haute qualité et ont une longue durée de vie: un aspect tout aussi important de la durabilité comme l’utilisation de matériaux respectueux de l’environnement. Designers: Daniel Lavonius Jarefeldt, Johanna Munck af Rosenschöld et Josef ZettermanProducteur: SA MöblerPhotographe: Thomas Harrysson, Kameron Fotohttp://image.architonic.com/img_pfm2-2/205/7807/a-series-meeting-tables-000168-b.jpg
LA CONCEPTOLOGIQUE, ou LA LOGIQUE DU CONCEPT…. Par fertilisation croisée , Tiphaine Vasse m’a mise sur la voie de 2 concepts innovants : la “tabouret de dossiers” pour le marché domestique et le bureau balançoire pour le marché outdoors…. ou indoors pour la silicon fun valley californienne. Il est toujours tres interessant de deplasser les frontières entre indoor outdoor, home et office… MERCI
@Tiphaine Vasse Tu as des tics de journaliste de…. presse generaliste, tres grand public comme on dit à intramuros. Voir cet article de Clément (qui ne l’est pas toujours) de Design et Recherche qui met cela en perspective …. Mais ton petit suédois n’est pas Karim Rashid, ni Philippe Starck , ni Patick jouin , ma vie mon oeuvre… Les produits sont plus interessants expliqués , contextualisés ….. Toute idée, tout concept, tout dessin naît le plus souvent du contexte,, in situ. Le room in a room a été traduit en box in a box tres proche du travail des hollandais très présent dans le catalogue de l’éditeur …. Pour le reste , c’est intéressant mais il aurait pu allé plus loin avec son bloc assise comme Jonathan Olivares. ,…. ou avec son bureau balançoire …. Il a beaucoup de chemin à faire pour approcher Big Game ou Matali Crasset , en plasticité mentale, en formalisation textuelle et formelle de concept, en individuation qui est le processus de « distinction d’un individu des autres de la même espèce ou du groupe, de la société dont il fait partie. Pour l’instant il est un designer produit comme beaucoup d’autres. Pour devenir designer auteur, c’est vraiment un autre biz avec un plafond de verre…. Sur le plan de la recherche inconographique tu aurais pu mieux faire pour le choc des photos. http://www.designetrecherche.org/?p=297
IMAGE DE FOCUS DIVIDER EN SITUATION “OPEN SPACE” DES TEMPS MODERNES…. Le projet est signé Tengbom et non daniel-lavonius-jarefeldt
S’IL VEUT DEVENIR DESIGNER AUTEUR JE , TRAVAILLERAIS SUR L’ESTHETIQUE FORMELLE DU RIVET COMME SIGNATURE ET COMME ELEMENT MULTI FONCTIONNEL …http://officesupplygeek.com/wp-content/uploads/2010/02/Cargo-Box-Rivets.jpg
VOILA VOILA PETIT CAISSON ET HOP….
Je ne parle pas de Jonathan-Olivares par hasardhttp://www.newyorkmarkt.com/images/2011/08/Contemporary-Smith-Multipurpose-Storage-Design-for-Office-and-Home-Interior-Furniture-by-Jonathan-Olivares-2.jpg
CONSEILS DE BRANDEUR , DE MARKETEUR…@ Daniel lavonius jarefeldt @Tiphaine VasseNous sommes dans la société de l’attention superdicielle et du branding des designersPas assez de différenciation produit et personne Changer de nom ( trop long) changer de look et de photographe, faire des photos d’attribution, changer de technique de com ( 1500 citations), com trop axée sur les bases de données d’architravailler sur la marché mobilier domestique en reprenant le vocabulaire et la grammaire artistique du FOCUS DIVIDER …. Pour le reste , il faut passer le mur de verre du metier , le mur d’Intramuros comme Oilivares qui a beaucoup travaillé dans le bureau.http://www.relay.com/Covers/FicheProduit/14463.jpg
FOCUS DIVIDERFondé en 1906 Tengbom Architects est une des agences d’architecture les plus influentes en Suède, et plus généralement en Scandinavie. Tengbom ae 550 salariés répartis sur une douzaine de bureaux en Suède, en Finlande, et en Asie …. Il eu eté logique de mettre les 2 designers du Focus Devider en photo.http://www.offecct.se/files/tengbom-big_0.jpg
FOCUS DIVIDER IMMEUBLE MEUBLE C”EST ENFIN CLAIR… OU PRESQUE car je ne connais pas son contrat de travail ni le droit d’auteur suédois . Ce qui est clair c’est que si vous construisez ou decorez un immeuble de bureau et que vous venez voir un editeur pour le remplir de meubles , il éditera plus facilement un des vôtres. Il me semble qu’Arik Levy a commencé” comme cela…. Focus Divider par Tengbom pour OffecctDesigners: Daniel Lavonius Jarefeldt Kristina Jonasson de TengbomProducer: Offecct https://www.facebook.com/media/set/?set=a.10151996686646818.1073742835.274138756817&type=1 Focus Divider by Tengbom for Offecct
J’AI TOUJOURS PENSE QUE LES CALIFORNIENS Mike Maaike_ AURAIENT DU DECLINER CETTE PRIVACY CHAIR EN PRIVACY DESK
JE REGARDE UN PRODUIT SOUS TOUS LES ANGLES ET JE ENSUITE JE REGARDE QUI L’A FAIT ET POUR QUOI ET POUR QUI…. .D’après ce que je vois et lis ce n’est pas un designer indépendant, un designer auteur mais un designer de bureau d’archi qui ne travaille pas en solo.. Ce bureau a été conçu avec un autre designerKristina Jonasson pour Tengbom arkitekter (Lavonius Jarefeldt, Zetterman & Munck Of Rosenschöld ). Je ne sais exactement le rôle d’OFFECCT, marque connu . Pour revenir au concept, à la ttypologie, au marché et même au segment de marché., il faut examiner le mot privacy. Le mot privacy en anglais est intraduisible en français. Il vient de latin : privatus . séparée du reste donc des autres… Il est clair que cette privacy furniture n’est pas pour le privé, pour la maison, pour le marché domestique donc n’est pas un bureau à domicile ( home desk) segment en plein developpement ( voir le bureau de ligne Roset en photo) mais pour le marché des contrats, le marché des entreprises et des collectivités. Sous un certain angle on dirait une casemate, un abri de chasseur à l’affût…. Comme je ne suis pas un sniper mais un tireur d’élite de design management, je pense qu’il devrait le presenter au Red Dot allemand non en concept comme indiqué mais en product
PRIVACY FURNITURE: DESIGN DANOIS CONTE DESIGN SUEDOIS Dans les privacy furniture ( l’anglais est plus conceptuel que le français), il y a deux typologies , les assises et les bureaux et on peut segmenter bien plus finement encore .. En général les designers ne se mettent pas la tête au cube et en font des caisses en feutre , ce qui en terme de differenciation produit est une impasse créative….. Sur le segment home desk les italo danois gam fratesi pour ligne roset sont au dessus du lot de… cubes et parallélépipèdes plus ou moins ouverts… Pour le marché domestique c’est un marché de niche dans tous les sens du terme…
SILHOUETTE + DETAIL CELA MERITE …..UN RED DOT CONCEPT AWARD