Well of Life, luminaire ceramique par Arik Levy

12 août 2011 /
22 commentaires

Well of Life, luminaire ceramique par Arik Levy

Arik Levy, designer israélien revient sur BEDesign pour nous présenter son luminaire en céramique nommé Well Of Life.

Il expérimente et poursuit ses recherches au travers de cette matière qu’il trouve : Magique et primitive. En partenariat avec un artisan expert en céramique, Arik Levy joue sur les interactions entre forme, texture, matériaux et couleur. La finition intérieure, une fois la source lumineuse enclenchée devient « quasiment » liquide.

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Site du designer : Arik Levy

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  1. « La valorisation de l’impact médiatique, dans une profession où le romantisme de l’artiste créateur reste très présent, permet de comprendre que les apprentis designers soient tentés par cette voie rapide…On les comprend et la nécessité actuelle de communiquer pour exister ne peut d’ailleurs que les encourager dans ce sens. »
    Jocelyne Leboeuf, directrice des études à l’Ecole de Design de Nantes Atlantique

  2. @Chapa
    J’aime beaucoup Arik Levy et le travail de son studio L design.
    J’aime beaucoup cette idée que l’on aime l’image du photographe plus que le produit en lui même même s’il provient de ce que l’on nomme design de signature. Parler d’un bébé suppose qu’il soit le père or souvent ( je ne dis pas que c’est le cas ici) les designers (dont certains font plus 250 jours par an hors de leur studio) adoptent un projet d’un ou de plusieurs de leurs salariés validé par le chef de studio quand ce n’est pas un travail de stagiaire. De plus dans le cas d’une collaboration avec un maître artisan, il est souvent en fait co-designer mais l’attribution par son service de presse,par lui-même (en interview)puis par la presse et par le public va toujours vers le designer connu.
    Fondation Bettencourt Schueller qui valorise «l’intelligence de la main» récompense (et par la même met en lumière) une rencontre, celle du potier Claude Aïello et du designer Mathieu Lehanneur.
    http://next.liberation.fr/design/01012297519-le-prix-liliane-bettencourt-pour-tout-l-age-du-monde

  3. Si j’aime bien, une évidence s’impose : ce n’est pas franchement original ! Je suis bien d’accord. J’aime la photo où il tient la lampe comme un bébé et l’air inspiré en regardant le fond de la lampe ! 😀

  4. @Beats Studio
    Il faut avoir du liquide. Il faut déjà payé l’expert en céramique français Jean-Paul Aiello et le photographe Ian Scigliuzzi qui travaille avec Vanity Fair, Harpers Bazaar, Wedgewood et Porsche et son agent anglais Jamie Stephen sans parlé des designers qui ont travaillé sur le projet à Paris et en Provence.

  5. PRENDRE TOUTE LA LUMIERE
    Qui est derrière ou plutôt à côté: c’est un partenariat avec un « artisan expert ». Je pense à Jean-Paul Aiello avec lequel il a dejà travaillé , de même que les Bouroulec ou à Claude Aïello qui à travaillé avec Lehanneur mériteraient un reportage ds les blogs design….. Jo yana, Vinvent de Bed design ou Elodie Palasse???

    STATUT DE L’OBJET:
    En lisant la phrase de Chapa « Ces lampes vases sculptures sont intéressantes »,je me demande toujours quel est le statut de l’objet. Prototype? série limitée? Galerie ? Auto production? auto 2dition ? auto-distribution ? Prix?

  6. IDENTITE VS ALTERITE
     » En utilisant entre autres des objets quotidiens, un pont est jeté vers l’idée de l’autre.L’autre participe à ce projet de manière trèsdirecte, et sous diverses formes. Mais d’abord, l’idée : dans chaque travail, la notion de l’autre est présente, que nous voulions la voir ou non.Parfois, elle est bien là, en surface, parfois elle est cachée. » AriK Levy

  7. Arik levy a le sens du spectacle, de la mise en scène qui enveloppe le produit. Il est aussi sous le feu des projecteur avec un studio de 15 personnes ce qui fait toute la difference avec un écalien ou un ensci en sortie de scolarité et de stages. Le processus créatif est le détournement de 2 typologies de lampe pour n’en créer qu’une seule par hybridation : 2 lampes projecteurs(la lampe torche projecteur pour la largeur du faisceau, et la lampe de suivi de scène pour la couleur.)
    L’appendice de la lampe de sol d’Arnaud Lapierre ou de de celle de Julien Renault est developpé et déplacé pour devenir une poignée et faire un appui latéral pour une lumière un peu moins ras du sol que la lampe en cuir de Bina Baitel.

  8. Arik Levy dans une interview évoque le mot « recette » qui a tant fait frémir un doctorant en design quand un designer lyonnais Maëlig Pommeret l’a utilisé.
    ( Je ne sais si Vincent Bed le connaît.
    «C’est comme une sorte de recette;. Le pourcentage de combien la poésie, d’émotion, de la technologie, les sciences, les procédés de production industriels ou faits à la main que vous utilisez en constante évolution, de créer quelque chose qui a sa propre identité »

  9. @Chapa
    Comme ces lampes ont été présentées à Miami Basel 2010, il est logique que ce soit un produit atypique puisqu’il est destiné au marché des collectionneurs. Levy ne pouvait pas décliner Ad vitam æternam ses rocks. Il s’agit simplement d’un détournement d’une lampe projecteur avec un verre de couleur et un intérieur de couleur ( très tendance) et avec une très belle finition matière d’un artisan comme Claude Aïello ( très tendance). Pour moi c’est donc plus une pièce à la manière d’un produit marketé. Je pourrais dire aussi j’aime bien comme les lampes de Julien Renault de l’Ecal presentées 2 ans avant au même Miami Basel mais en 2008 http://static.dezeen.com/uploads/2008/06/ecal-julien-renault-3.jpg

  10. Une sorte de mix du vocabulaire formel et du travail sur la matière de Julien Renault, d’ Adrien Rovero, de Tomas Kral aso pour detourner une lampe projecteur vers une star….

  11. On dirait un projet du graduate show d’école de design .Levy au niveau d’un jeune diplômé de l’Ecal

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